• Moi, Marie-Antoinette de La Vallière, je vis dans une famille bien élevée. Mais attention, pas n'importe quelle famille : une famille de DUC !!!
    Mon père est savant. ma mère est la reine de la couture. Elle coud en bleu, en rouge, en jaune, de toutes les couleurs ! des jupons, des robes, des hauts et plein de beaux vêtements.

     

    Je m'entendais bien avec mes parents jusqu'au jour où ils ont décidé que je devais apprendre leurs fichues bonnes manières, que je devais porter des vêtements plus appropriés pour une Duchesse et bien me tenir et... Mais moi, je ne voulais pas de tout cela ! Je préférais profiter de la vie ! Un matin, ils m'annoncèrent que j'avais enfin l'âge de me fiancer, puis de me marier mais je n'étais toujours pas d'accord ! Prise de colère, je suis allée à l'écurie, j'ai pris mon cheval et suis partie dans ma grotte. Celle où je me réfugie quand je suis triste ou en colère. J'ai marché pendant au moins un heure, je commençais vraiment à avoir soif, mais il n'y avait rien dans cette misère de grotte, j'avais très mal à la tête et d'un seul coup plus rien …

     

    Quand je me suis réveillée, j'avais l'impression d'avoir pendant dormi pendant longtemps, mais ce n'était pas qu'une impression et j'allais le découvrir, donc, je me levai et sorti de la grotte, dehors tout avait changer, je me demandais pourquoi donc je continuai ma route, je vis plein de genre de maison mais en bâton ! C'était vraiment bizarre, quand j'arrivai dans la rue tout le monde me regardait, je ne comprenais pas pourquoi, mais là un homme m'a demandé si je cherchais quelque chose, et lui répondu que je ne savais dans quel monde j'étais ! Il m'a pris le bras et m'a emmené je ne sais où, et il m'a donné des vêtements qu'il m'a dit de mettre, c'est hideux, il y avait un pantalon ! Moi porter un pantalon ?! Mais pour qui me prenait-il ? Il m'a expliqué que c'était à cause de mon style vestimentaire que les gens me regardaient. Ensuite il m'emmena dans une des grandes maisons en bâtons, où il y avait d'écrit « HOTEL », il m'a dit que c'est là que je passerais la nuit. Le lendemain, il m'a demandé d'où je venais, je lui ai dit que je venais du château voisin, il m'a répondu « Un château ? Mais il n'y a pas de château ici. », et je suppose que c'est là qu'il a compris d'où je venais vraiment. Alors il m'emmena dans une grande salle où il écrivit « Venez tous une histoire mystérieuse vous attend ici ! », plein de personnes commençais à entrer, et ces personnes c'est vous !

     

    Donc voilà l'histoire de comment je suis arrivée ici !

     


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  •  J'errais dans une ruelle quand ce gentilhomme apparut devant moi. il me questionna : (elle imite l'intonation de l'homme)
    " Que faites-vous ici seule ? Vous cherchez quelqu'un ? Si vous voulez, vous pouvez les appeler."
    Je trouvai cette idée brillante. je me mis donc à crier mon patronyme. C'est à son regard étonné que je me tus. Je ne compris pas son expression. N'avais-je guère fait ce qu'il m'avait proposé ?

    C'est hilare qu'il sortit alors un gros objet rectangulaire d'un trou dans son pourpoint. je compris vite qu'il s'agissait d'un pavé magique quand un carré lumineux apparut au centre de ce dernier. Je m'en saisi, l'observai sous toutes les coutures : quelle belle sculpture ! Une belle mosaïque en bas et une plaque de verre en haut, derrière de belles couleurs, des bleues, des rouges, des vertes... Un son abominable en sortit soudain. Je tente de le faire taire, j'appuie partout en vain. Je le lance sur le sol, encore sans résultat. Il se tut enfin quand il entra en contact avec la talonnette de ma chausse.

    '' Mais vous êtes pas bien dans votre tête !! Le tout dernier iPhone que vous venez d'écraser sous votre pied ! Je venais juste de l'acheter.''

    Je lui demandait donc qu'est-ce que son carré magique avait de si précieux. Il me répondit en criant et en me demandant de quelle planète je venais.

    ''Je viens de la Terre mais par contre je viens du Xvème siècle ''

    ''D’accord je comprend mieux maintenant ... Et bien suivez moi je vais vous conduire dans un endroit où on va s'occuper de vous ''

     

    Je le suivit donc, au début je pensais vraiment qu'il allait m'aider a me sortir de cette galère mais je me trompais en-faite il m'emmena dans un grand bâtiment avec des gens qui allaient et venaient dans les couloirs. Il allât voir un homme qui était habillé en blanc. Il discuta un moment avec lui en parlant de ''Asile'' , et en lui montrant le fameux carré magique brisé. L'homme en blanc me posa quelle que questions comme par exemple de quelle époque je venais, pourquoi je m’habillais ainsi ect... Je pense avoir bien répondue a toute ses questions car il me regarda avec un grand sourire et me dit que quelqu'un allait bientôt s'occuper de moi. J’étais toute contente a l'idée de rentré chez moi bientôt jusqu'au moment où l'homme au carré magique et l'homme en blanc qui était un guérisseur m'aidèrent a rentrée dans un carrosse sans chevaux tout blanc lui aussi avec une croix rouge dessus. Dans ce carrosse il y avait deux autres guérisseur et une guérisseuse. Je restât dans ce ''camion'' avaient-ils dit pendant environ une heure durant laquelle ils continuèrent a me poser pleins de question même parfois de question idiotes comme par exemple ce que j'aimais manger , a quelle heure je mangeais , si j'avais des enfants. Comme si moi la duchesse allait pouvoir supporter que des enfants courent partout dans mes beaux jardins, mes belles chambres bien rangées et par dessus tout les laisser torturer mon pauvre petit chien : Bretzelle. Après cela ils m’emmenèrent dans un grand bâtiment avec un grand parc tout autour avec des gens bizarres car ils faisait pleins de gestes sans aucun sens et même certain parlait tous seul. Ensuite ils me firent visités une petite chambre pourvus simplement d'un lit , d'une chaise et d'un bureau. Mais ils n'était pas rentré dans la chambre, je m'en aperçu lorsque j’entendis la porte se fermer derrière moi. J’étaie piégé. J'en eu mal au mains a force de frappée a la porte pour que l'on m'ouvre mais soudain j’entendis un « pichhhhhhhhhh » et je sentit mes paupières se fermer . Piégée, J’étais piégée. Et puis se fut le noir.


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  • Une fois que j'avais enfin détruit cet étrange objet, je me sentais rassurée.

    Je regardais l'homme en face de moi, il me parlait violemment et utilisait un langage étrange

    que je n'avais jamais entendu auparavant. Je lui demanda " Mais que vous arrive-t-il ? ", mais il continua de me parlait avec ces

    mots que je ne pouvais pas comprendre. Je me décidais alors à partir, ne savant ni où aller, ni qui voir.

    Je marchais, marchais et encore marchais, puis un animal sauvage surgit de je ne sais où, il avait de courtes pattes, mais

    je pouvais voir dans son regard qu'il était maléfique, alors je courus, puis une fois qu'il n'était plus là, je continuais de marcher.

    Il faisait presque nuit et je sentais une atroce douleur venant de mes jambes, quand tout à coup, je vis un grand portail, il me

    semblait  familier, je m'avanças, puis l'ouvrir, il y avait une grande allée pavée de dalles jaunes et je pouvais apercevoir une

    immense demeure au bout de cette allée. Je me décidait alors d'entrer, la douleur que j'avais ne cessait de s'amplifier,

    j'avançais jusqu'à la porte de leur demeure, et tapas trois coups forts...


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  • ... J'avais enfin vaincu ce démon maléfique !

    Heureuse, je sautillai au delà de l'acceptable, j'imaginais parfaitement mon illustre grand-père me regarder avec une telle honte et un invraisemblable dégoût.

    Quand je rouvris les yeux, je vis cet étrange inconnu jurer sans pareil et sans cesse, dans un dialecte complètement inconnu.Que lui arrivait-il encore ? Ne venais-je donc pas de le débarrasser de cette infâme créature? C'est probablement la façon dont son espèce sous-évoluée communiquait son bonheur et sa gratitude ...

    Enfin, passons.  Après cette rencontre atypique, je me décidai à continuer mon chemin.

    La nuit était tombée, je décidai donc d'utiliser d'observer les étoiles pour guider ma voie. Mais après seulement quelques pas, je ressentis une douleur fulgurante des pieds à la tête. Je relevai encore une fois le regard et vit un obstacle fait de pierre, avec juste devant ma tête, un espace transparent mais malgré tout dur, comme comme sur le pavé magique démoniaque. De l'autre côté, plusieurs personnes, drôlement vêtues avec des haillons, je n'ai pas de mots pour les décrire tellement je suis offensée par ce manque complet d'élégance et de savoir-vivre. De plus ces curieux personnages ne cessaient de s'esclaffer devant moi.

    Près de moi  une étrange porte colorée, je décidai donc de l'ouvrir pour aller à la rencontre de ces grotesques individus ...


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  • Bonsoir jeunes gens !

    Ravie de vous connaître, je ne suis pas là pour bavarder mais pourtant mon faux cul et moi avons bien des choses à vous dire...

    Vous allez rire quand je vais vous annoncer que je ne viens pas de ce monde là, enfin pas à cette époque-ci.

    Je me présente, je me nomme Antoinette. Version longue Antoinette Marie-Jeanne de la Cour Sale. Version courte .. Ant' ! Je préfère amplement mon nom normale : Antoinette !

    Antoinette ! Ne les endort pas avec ta petite vie personnelle, voyons.

    Il y a bien longtemps en 1800... Bon il y a trèèès longtemps, en 1812. Je me baladais en carrosse, un certain 16 juillet, le jour de mes 24 ans. Mais je crois que cet anniversaire restera le pire de ma vie. Et non ce n'était pas une promenade en carrosse mais nous nous conduisions ma famille et moi-même chez ma tante, ma chère tante Ursule. En descendant du carrosse j’aperçus ma tante au seuil de la porte, c'était la première fois que je la voyais après celui où je suis née mais trop jeune pour m'en souvenir j'avais oublié à quel point c'était un être horriblement repoussant.

    Par bonne manière et non par bonne volonté, je fis un grand sourire à ma tante avant de la saluer. Celle-ci me répondit avec son beau sourire à elle avant de descendre ces trois petites marches qui nous séparait, pour me faire la bise.

    Humm, la belle odeur des vieilles tantes, leurs cheveux gris/blanc qui vous chatouille le nez, c'est extrêmement agréable. Je m’empressai donc avant qu'elle ne m'annonce "tu seras avec lui." Qu'est-ce qu'elle voulait bien donc dire ? De qui parlait-t-elle ? Par mon étonnement, elle se retourna vers la porte d'entrée avant de s'écrier "Maxiiiiiiiiiiiiiiime !".

    Soudain, un être absolument laid, sorti timidement de la porte. Il avait de grandes oreilles, une mâchoire déformée et me regarda de ses petits yeux plissés.

    Il descendit les marches, pendant ce cour instant je me retourna vers mes parents en me chuchotant "n'est-il pas mignon ?".

    Je croisa les doigt en me répétant sans cesse "c'est mon petit cousin, c'est mon petit cousin..". Maxime, s'approcha dangereusement de ma main, et me regarda dans les yeux avec son grand sourire béat.

    Tante Ursule tapota l'épaule de cet inconnu, avant de lui dire "alors elle te convient ?".

    Ces mots voulaient tout dire, c'était la fin !! J'étais mariée...

    Soudain, plus rien... Le noir complet, le vide sous mes pieds, juste un étrange bruit de sabots sur un sol dur ...

    J'ouvris les yeux.. Où étais-je ? Où est Maxime et tante Ursule ? Ou sont mes parents ?

    Je me releva et tapota ma robe, au loin ce distinguai des silhouette dont une m'approchait..

    Je reconnais ces grandes oreilles, je suis tombée sur le seul que je ne voulais pas voir. Il me fixait, je lui dit alors que je ne voulais pas le voir, que c'était un terrible cauchemar. Le garçon se mit à pleurer, des policiers s'avancèrent...

     

     

     


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  • Superbes, vos Duchesses !-)

    Bonjour aux dramaturges Du Bellayien...

    MERCI et BRAVOOO pour vos Duchesses qui ont de l'allure, si, si !!!

    On voyage, on se marre, on découvre, on écarquille grands les yeux, et cela, au même rythme que vos Duchesses...
    Vos textes sont soignés, tant du point de vue de la mise en page que du vocabulaire employé. C'est très agréable à lire !

    Vos idées sont comme votre plume : libres, assumées, fluides, pleines d'humour, détaillées, imagées, rythmées, farfelues et audacieuses !

    BRAVO les MAESTROS !

     

    Ma plume à moi, a pris d'autres chemins que ceux prévus... Elle se fait encore attendre, reste en partie mystérieuse, mais je ne perds pas le nord, je poursuis mon cap ! Samedi dernier, elle m'a même menée face à un ...gorille (...) SUSPENS !

    À très vite ! Bien à vous,

     

    Madeline.

     

    Bonne rentrée à chacun, surtout !


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  • Aaaaaaaaaaaaaaah ! ... ouf ! Heureusement que j'ai su garder mon sang froid ! La montgolfière s'est écrasée

    pile ou je voulais ! Bon, il ne me reste plus qu'à aller demander à ces nouveaux arrivants de ranger ma montgolfière. 

    Qui pourrait donc faire cela pour moi... ? (Elle regarde autour d'elle). Ah cet inconnu là devrait pouvoir me renseigner.

    (elle interpelle le passant) Comment ? Qu'est ce que je fais dans ce parc ? Vous devez plaisanter ? Ah oui, c'est très drôle !

    Vous voyez, pendant un instant, j'ai failli oublier que j'étais dans le parc de mon château... De quoi ? Vous voulez appeler la

    sécurité ? De da pe qi ga ? Comment ça, je viens de débarquer en territoire privé ? Bien sûr, ce territoire est mon château !

    Aïe ! Mais... LÂCHEZ MOI ! Vous me faites mal... Ramenez-moi tout de suite a mon château je vous prie !

    Ces gens là ne vont pas comprendre qu'il font une misérable erreur, je vais les faire jeter en prison dès que possible. 

    Il faudra aussi que je leur apprenne à s'habiller, je trouve cette tenue absolument révoltante ! Mais en attendant...

    Ou suis-je au juste ? Je ne reconnais pas ce lieu...Qu'est ce que c'est que ces drôles de traits par terre ?

    (la duchesse manque d’être renversée par une voiture) Oh ! Mais à quelle vitesse roulait cette automobile ?

    Moi qui adore les nouvelles inventions, il va absolument falloir que je change la mienne pour une comme celle-ci ! Elle sont

    beaucoup plus rapide . Par contre ils ont de drôles de réverbères, et ils changent de couleur ! (la duchesse manque  de nouveau

    de tomber) Oh ! Mais ces réverbères sont dangereux ! Ils font fuir les conducteurs quand ils changent de couleur ! (elle reste

    ébahie devant le feu vert). 


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  • Elle se réveilla soudainement. Elle se sentait bizarre. Elle entendait du bruit venant de l’extérieur,

    elle se demandait ce que c'était. Elle se leva et et voulu allumer sa bougie mais elle ne la trouvait point et sans faire exprès elle appuya sur

    un interrupteur  se qui alluma sa chambre. elle sursauta car elle n'avait jamais vu cela, un bouton qui allume une sorte de 

    lumière et une chambre complétement modernisée. Mais où était elle?

    Elle avança dans la maison pour sortir de cet endroit complétement inconnu. Elle se demandait si ce n’était pas le fruit de son

    imagination qui lui jouait des tours.

    Quand elle ouvrit la porte elle vit dehors un monde différent qui lui était inconnu.

    Les habits des personnes ou encore la ville avec des magasins partout et des véhicule qui roule partout.

    Elle ne savait plus où se mettre mais elle observait. D'un coup elle crut apercevoir le visage de son mari.

    Elle se rapprocha ce cette personne et l'appela . Il se retourna. Il avait bien l'ai d'être son mari, elle était si heureuse qu'elle lui 

    sauta dans les bras. Mais cet personne qui ressemblait énormément a son mari ne la connaissait pas.

    Elle lui rappela qu'ils s’étaient rencontres lors d'une balade à cheval mais il était sur de ne pas la connaitre, elle insistait.

    Cet homme ne faisait que de lui répéter qu'il s’appelait Alexis, qu'il avait 25 ans et qu'il était pâtissier et aussi qu'il ne

    l'avait jamais vu de toute sa vie.

    Il lui redit une dernière fois et s'en alla.

    elle était toute perturbée, déjà cette modernité qui l'entourait et le soit disant homme de sa vie qui ne l'a reconnait pas...

    Penser à son mari lui faisait complétement oublier qu'elle était dans un autre monde ou plutôt une autre époque.

    D'un coup elle revit son mari et voulu allait le voir, elle ne voulait tellement pas le perdre qu'elle se mit à courir.

    Mais elle se prit les pieds dans un objet et tomba,elle perdu connaissance.

    Quand elle se réveilla elle était de retour dans sa chambre. Elle entendit le coq chanter et oublia tout ce qu'il c'était passe

    car ce n'était que l'effet de sa tristesse dans un rêve.


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  • La duchesse frappa trois coups à la porte. Serge Sedu lui ouvrit :

    — Mais c'est ce Cher Serge ! s'exclama la Duchesse.

    — Pour vous servir, répondit Serge Sedu. On se connaît ?

    — Oui, car nous sommes de la même famille. Mais ça, vous ne le savez pas encore.

    — Comment ça, répondit-il interloqué en contemplant cette jeune femme sortit d'un autre âge...

    — Je me présente, je m'appelle Henriette Dumans Duchesse Sedu. J'ai pris les chaussettes de l'archiduchesse hier matin pour les laver.  Au moment de tirer de l'eau, j'ai fais une chute et me suis retrouvée au fond du puits avec les chaussettes de l'archiduchesse trempées. Après quelques minutes j'ai repris mes esprits. À ce moment là une voix s'adressa à moi m’indiquant la sortie et ajoutant "quand tu sortiras, trois siècles se seront écoulés. Rends-toi chez ton futur arrière-arrière-arrière-petit fils, Serge Sedu, qui te rendra service." Et me voilà...

    Serge Sedu regardait avec stupéfaction la jeune femme. Jamais il n'avait entendu une histoire pareille, même s'il croyait voir dans les traits de la Duchesse comme un air de famille :

    — Vous avez conscience que ce que vous me narrez est invraisemblable ? Je suis le propriétaire d'un pressing depuis vingt ans et je n'ai jamais entendu parler d'une quelconque  Duchesse dans ma famille...

    — Un pressing ? Qu'est-ce donc noble Serge ? demanda Henriette.

    — Cela signifie que je m'occupe de nettoyer le linge, les vêtements, les costumes de mes clients.

    — C'est bien ça ! Vous pouvez m'aider en effet comme me l'a indiqué la voix. Voici les chaussettes de l'archiduchesse."

    Elle lui tendit ces dernières qui étaient toujours humides. Serge Sedu les prit et alla les mettre à sécher :

    — Je reviens dans dix minutes. Attendez-moi à la porte, dit Serge.

    Pendant ce temps, la Duchesse observa son environnement. Voitures, avions, pollutions, câbles électriques, HLM, SDF, RATP, SNCF, EDF, FDJ, Bouygues, forfaits, PSG... "Quel monde bien étrange soupira-t-elle...""

    — Elles sont prêtes ! s'exclama Serge.

    — Les chaussettes de l'archiduchesse sont-elles sèches, archi sèches ? demanda sèchement Henriette.

    — Oui, elles sont sèches, archi sèches les chaussettes de archiduchesse, répondit ce Cher Serge Sedu non moins sèchement à la sèche remarque de la Duchesse.

    Pleine de reconnaissance toutefois, Heneriette Dumans fit la révérence à sa descendance. Elle s'éloigna et disparu.

    Une Duchesse au XIXe siècle est sans doute aussi improbable que cette histoire de chaussettes. Mais il nous restera ce magnifique vire langue dont l'origine est inconnue tout comme cette drôle de Duchesse...

     

     

     

     


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  •  

    Je me réveillai dans une forêt semblable à celle où j’étais tombé hier, j'entendais des bruits assourdissants alors m'inquiétant je me dirigeai vers eux.

    Au milieu de la forêt je vis des machines entrain de couper des arbres, je m’approchais, quand soudain un homme m’interpella :

     " Que faites-vous là ? ce lieu est privé, il est interdit au personne n’y travaillant pas.

     - Pas le droit, mais je suis ici chez moi, dans ma forêt, cette terre est dans ma famille depuis plus d'un siècle, et mon château se trouve tout près, lui répondis-je.

     - Un château ! mais il n’y a pas de château ici à part des ruines de l’autre côté de la forêt, peu importe vous devez partie d'ici !, me dit-il. 

     - D’accord, vous n’auriez pas vu ma charrette par hasard ?, lui demandai-je.

     - Une charrette maintenant, alors pour aller au château il faut prendre le chemin à droite puis prendre la route et je n'ai pas vue de charrette !, au revoir Madame, me répondit-il d'un ton pas très aimable."

    Je pris le chemin qu'il m'avait indiqué, et je tomba sur un chemin tout bleu et très dur, où circuler des drôles de machine roulante, intriguer je m’approcha de l'une d'elle. A l’arrière de cet engin une odeur insupportable sortait, un homme sortit de cette chose et se mit à me parler :

    " Vous cherchez quelque chose ?

     - Oui monsieur, je cherche le château, lui expliquai-je. 

    - C'est pas ici que vous aller le trouver,dit-il en rigolant, laisser moi vous y conduire." 

    Je monta dans cet engin et je l'observa de tout les côtés, pendant le trajet je me senti mal, très mal. Quand nous arrivâmes devant mon château, je pus lire sur une pancarte : « visite du château, 25 euros ». 

    Je me suis présenté devant l’entrée et je ne pu rentrer, car je n’avais pas d’argent pour payer la visite. J’essayai de m'expliquer en disant que j’étais la propriétaire et que ils devaient me laisser entrer mais rien à faire ils ne voulaient pas. Alors je pris la décision d'essayer d'escalader un mur mais pendant que j'escaladais un pierre se détacha et je tomba, ma tête heurta un arbre et je perdis connaissance.

     


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